Lundi 30 décembre 1 30 /12 /Déc 16:56

Voilà 4 mois et demi que j’ai signé mon contrat de soumission. J’apprécie mes maîtres car ils n’ont pas essayé de brusquer le démarrage et m’ont laissé le temps de m’habituer aux nouvelles habitudes qu’ils m’ont imposées.

J’ai du mal à tenir ce blog à jour semaine par semaine. Ils ne m’en tiennent pas rigueur mais me demandent d’y déposer un bilan au moins une fois par mois.

Voici donc un petit bilan du mois de décembre.

 

Au niveau vestimentaire :

Je ne porte plus de pantalon. C’est un vêtement qui m’est devenu inconnu. Je suis systématiquement en jupe. Pour une fille qui n’en portait jamais avant, c’est un exploit ! On dit que l’habit ne fait pas le moine… Peut-être… En tout cas, me concernant, la jupe fait bien la femme ! C’est comme si ce vêtement que j’ai toujours refusé jusqu’à présent exacerbait une féminité qui était restée enfermée en moi jusqu’à présent. Tout mon style a changé. Je m’appuie beaucoup sur Caro, ma meilleure amie. Elle m’apprend à combiner les vêtements pour être féminine et classe sans jamais être vulgaire. Je commence à intérioriser les codes. Géraldine est rarement déçue des choix vestimentaires que je fais, preuve que j’ai beaucoup progressé dans ce domaine. Mon entourage a été très surpris de ce changement au début mais s’y est vite habitué. Je sens également que le regard des hommes sur moi a changé. Auparavant j’étais insignifiante, transparente. Maintenant je sens très régulièrement des regards appuyés, des sourires… Je me fais régulièrement draguer dans la rue. Au début ça me mettait très mal à l’aise mais maintenant je dois avouer que ça me charme plutôt de me sentir désirable.

Pour les sous-vêtements, gros changements également. Fini les soutifs et culottes en coton blancs. Je porte désormais des sous-vêtements fins qui concordent avec la nouvelle Céline féminine. Les collants m’ayant été interdits mi-novembre par Maîtresse Géraldine, je porte désormais des bas autofixants. J’apprivoise le nylon avec lequel je n’étais auparavant pas très copine. Les premiers temps, je filais systématiquement mes bas durant la première journée. J’avais un budget bas très conséquent ! J’ai appris maintenant comment les enfiler sans les abimer. Caro m’a donné aussi tout un tas d’astuces pour éviter les accrocs.

Dernièrement, Maîtresse Géraldine m’a imposé 3 jours par semaine sans string dont au moins un jour de boulot. Là, je continue à avoir un peu de mal. Je suis très mal à l’aise ces jours là de me balader dans la rue, dans les magasins, au bureau avec le sexe nu sous ma jupe. Bien sûr personne ne le sait et je fais en sorte évidemment que ça n’arrive pas, mais malgré tout j’ai l’impression de me promener nue dans la rue. Et puis, en plein hiver, il y a plus agréable comme sensation que d’avoir les fesses à l’air. Quand je sors dans la rue, la fraicheur s’engouffre sous ma jupe et me glace les parties intimes. Donc cette consigne reste encore un peu difficile pour moi. Maîtresse m’a cependant prévenu que rapidement je devrai apprendre à vivre totalement sans culotte ni string. Elle me martèle qu’une soumise doit être constamment disponible et offerte et que la culotte est un obstacle… Peut-être mais j’ai encore du mal à l’intérioriser.

Depuis mi-novembre, je dois aller faire les courses systématiquement sans soutif. Je m’arrange en général pour ne pas porter des vêtements trop moulants ces fois-là. Ca me gêne énormément car avec mon 95C, ma poitrine remue et je vois bien que ça attire certains regards. Et encore, en hiver, je peux garder un manteau mais aux beaux jours, je n’imagine pas les regards que je vais provoquer…

Maîtresse m’a également imposé une épilation draconienne du maillot. Je n’ai plus droit qu’à un petit ticket de métro sur le pubis. La première fois, je me suis trouvée mal à l’aise d’avoir ainsi quasiment le sexe à nu. Mais je ne me plains pas car je sais que l’épilation intégrale, c’est ce qui m’attend rapidement. De toute façon, je ne suis pas naïve : la plupart des soumises sur Internet sont épilées intégralement donc je n’espérais pas trop faire exception. Il faudra cependant accepter de mettre ainsi son corps à nu.

 

Au niveau sexuel :

J’ai toujours obligation de me masturber 15mn tous les jours mais sans me faire jouir. Géraldine voulait réveiller ma libido ? Elle a parfaitement réussi ! Ce sentiment de frustration juste après une masturbation interrompue est chaque jour plus difficile à vivre. Les pensées érotiques peuplent mes nuits, et même la journée, je peux être déconcentrée par la vue d’un bel homme. Moi qui étais si peu portée sur le sexe auparavant, je n’en reviens pas du changement !

Maîtresse ne m’autorise plus maintenant qu’un orgasme par semaine et ça c’est vraiment dur ! Par contre si je trouve un homme et qu’il me fait l’amour, j’ai le droit de jouir tant que je veux. Par contre, je n’ai plus le droit de le revoir après. Pour une fille comme moi qui n’a jamais été habituée à courir les boites à la recherche de plans culs, c’est pas simple. Je ne connais pas les codes… Faute d’occasion, je n’ai pour l’instant utilisé ce droit qu’une seule fois. C’était à l’occasion de l’anniversaire d’une vieille copine de lycée. La soirée a été assez arrosée. Je ne suis pas du style à boire au-delà du seuil où on n’est plus consciente de ce qu’on fait. J’étais donc bien désinhibée mais tout à fait lucide quand un jeune homme charmant m’a proposé de me raccompagner à la fin de la soirée. Nous avions fait connaissance un peu plus tôt durant la soirée, et je dois avouer qu’il ne me laissait pas indifférente. Mon dernier orgasme datait d’il y a 5 jours et je sentais mes hormones travailler plus que d’habitude. Je n’ai donc pas fait la fine bouche quand il a proposé de me raccompagner jusqu’à la porte et qu’il a profité que je cherche mes clés dans mon sac pour glisser sa bouche sur ma bouche. Alors là, ça a été une explosion dans mon bas ventre ! Le contact de sa bouche a immédiatement provoqué une montée de cyprine. J’ai répondu goulument à son baiser et je l’ai guidé vers ma chambre à coucher. Nos vêtements ont été très vite retirés. Il était très doux et à longuement fait frémir mon corps par des caresses préliminaires. J’étais trempée comme j’avais je ne l’avais été avant un rapport sexuel. Quand il est entré en moi, j’ai poussé un long gémissement de plaisir. Ca été fantastique. Je ne pensais pas qu’il était possible de prendre tant de plaisir avec un homme rencontré quelques heures auparavant. Il m’a fait jouir 3 fois durant la nuit. Le matin, ça a été un peu plus difficile de lui faire comprendre que je ne souhaitais pas le revoir (consigne de Maîtresse) d’autant que mon corps criait l’inverse et n’aurait rêvé que de remettre ça. Mais c’est comme ça… Mon statut de soumise ne me permet plus d’avoir des relations suivies. C’était mon premier plan cul de ma vie mais j’ai bien l’impression que ça ne sera pas le dernier !

 

Par Céline
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 16:52

La semaine dernière, j’avais rendez-vous avec Maîtresse Géraldine pour faire un petit bilan.

MG : Comment vas-tu ma soumise ?

C : plutôt bien Maîtresse. Ma vie change énormément depuis quelques semaines. C’est étrange ce sentiment de quitter une personnalité pour en endosser une nouvelle. Mais je sens que cette soumission est en moi et je ne regrette pas du tout tout ça.

MG : Et bien c’est parfait. Nous allons reprendre étape par étape. Au niveau vestimentaire, où en es-tu ?

C : Et bien avec ma nouvelle garde-robe, j’oublie peu à peu mon ancien style. Je suis de plus en plus souvent en jupe. Je me sens beaucoup plus féminine.

MG : Bien. Nous t’avons laissé 3 mois pour t’adapter. Nous allons maintenant prendre un rythme de croisière. Tout d’abord, les pantalons te sont désormais totalement interdits. Tu vas te débarrasser des derniers qui te restent. Tu peux juste garder un bas de survêtement pour faire du sport mais c’est tout.

C : Bien Maîtresse.

MG : Tu seras donc désormais systématiquement en jupe. Que mets-tu au-dessous ? J’ai cru lire dans ton dernier post que tu avais investi dans des collants ?

C : En effet. C’est pas que j’adore ça mais avec la fraîcheur qui arrive ça n’était plus trop possible de mettre des jupes sans rien dessous.

MG : Je te l’accorde. Pourquoi n’aimes-tu pas les collants ?

C : Je trouve ça compliqué. C’est toute une affaire à enfiler...Ca file pour un rien… Et puis le pire c’est de devoir tout retirer et tout remettre à chaque fois qu’on va aux toilettes. Les chaussettes c’est quand même plus pratique. Mais avec une jupe c’est pas terrible !

MG : Je ne te le fais pas dire ! Ma petite Céline, il va falloir t’habituer au nylon car dans ta vie de soumise ce sera ça ou jambes nues. Par contre quand je dis nylon, je ne dis pas collants. Une soumise ne porte pas de collant mais des bas.

C : des bas !?

MG : et oui… N’oublie pas : le sexe d’une soumise doit toujours être accessible. Tu l’as dit toi-même : les collants pour ça c’est pas top ! Donc à partir d’aujourd’hui, tu vas te débarrasser de tes collants et acheter des bas. Pour l’instant je ne t’impose pas le porte-jarretelle. On verra ça plus tard. Ils font maintenant des bas auto-fixant genre Dim Up qui tiennent très bien.

C : Je n’ai jamais porté ce genre de chose mais je vais découvrir.

MG : tant qu’on parle sous-vêtements, tu vas évidemment te débarrasser de tes dernières culottes. Tu ne porteras plus que des strings.

C : Je m’attendais un peu à cette demande.

MG : Tant mieux ! Celle que tu n’attendais peut-être pas c’est celle-ci : dorénavant, tu devras chaque semaine te garder un jour sans string…

C : Comment ça sans string ?

MG : Ce jour là, tu ne porteras pas de string, ni rien d’autre sous ta jupe.

C : Vous voulez dire qu’il va falloir que je sorte sans sous-vêtement sous ma jupe !

MG : C’est bien ça. Je te l’ai déjà dit : le sexe d’une soumise dot toujours être accessible. Les sous-vêtements sont une barrière trop importante. Pour l’instant je ne t’impose qu’une journée mais dis-toi que bientôt, tu seras plus souvent sans rien sous ta jupe que le contraire.

C : Mais je vais être super mal à l’aise…

MG : purement psychologique ! Qui sauras que tu n’as rien sous ta jupe ?

C : Je ne sais pas… On ne sait jamais… un geste de travers…

MG : Ca aussi ça s’apprend. C’est sûr que si tu t’assois à une terrasse les jambes bien écartées, tu vas faire des envieux ! Il faut réapprendre à marcher, à t’asseoir, etc… Ne t’inquiète pas : ça devient vite instinctif. N’as-tu pas déjà remarqué qu’en jupe tu n’as plus la même démarche. ?

C : Si en effet…

MG : et bien que tu aies ou non une culotte sous ta jupe ne changera pas grand-chose.

C : Bon, je ferai ce que vous me demandez.

MG : Ca me fait penser à une petite chose : comment gères-tu ton épilation maintenant que tu es tout le temps en jupe ?

C : et bien il a bien fallu m’y mettre. J’utilise un épilateur électrique.

MG : La cire c’est mieux. Tu vas t’équiper dans ce sens. Une soumise doit être tout le temps impeccable côté épilation. Deux séances d’épilation minimum par semaine, voire plus selon ta pilosité.

C : C’est énorme ! Je vais y passer tout mon temps.

MG : et oui. C’est ta condition de soumise. Une soumise entretient son corps pour le rendre toujours désirable. Côté maillot, qu’est-ce que tu fais ?

C : Au niveau épilation ?

MG : oui.

C : pas grand-chose… J’éclaircis un peu quand ça devient trop touffu mais c’est tout.

MG : Tu ne t’es évidemment jamais fait épiler intégralement le maillot ?

C : Intégralement ! Bien sûr que non !

MG : Je crois qu’il va falloir t’y préparer. Certains maîtres aiment que leur soumise porte une petite toison bien entretenue. D’autres sont adeptes de l’épilation intégrale. Je dois te dire que Pierre fait partie de la seconde catégorie. Il ne jure que par les sexes totalement lisses. Il faudra donc y venir tôt ou tard. Mais nous allons y aller doucement. Déjà tu vas commencer par faire une taille sérieuse. Je vais t’envoyer une photo pour que tu voies le résultat attendu. C’est en forme de maillot brésilien. Ca va déjà bien dégrossir tout ça.

C : Ca va faire bizarre. Vous allez encore dire que c’est psychologique mais de me sentir épilée à cet endroit intime va me donner une impression de nudité encore plus grande. Et puis un sexe épilé, ça a aussi une connotation très sexuelle…

MG : C’est le but recherché. Mais tu n’auras pas le choix.

C : Je le sais. Je ne reviens pas là-dessus. Je ferai ce que vous me demandez le moment venu.

MG : autre chose également. Tu vas faire tes courses régulièrement au supermarché ?

C : Oui. Une fois par semaine en général…

MG : Bien. Donc à partir d’aujourd’hui, quand tu iras au supermarché, interdiction de mettre ton soutif.

C : Mais avec ma poitrine, tout le monde va voir que je ne porte pas de soutif !

MG : et alors ? Tu es soumise ou pas ? Tu as honte de ton corps ?

C : Mais avec une poitrine comme la mienne, c’est très provoquant !

MG : Tout ça est très culturel. Par exemple dans les pays du nord de l’Europe, 95% des femmes ne portent jamais de soutif.

C : Oui mais concrètement avec mon 95C, à chaque pas, à chaque mouvement ça va balloter sous mon haut.

MG : De toute façon tu n’as pas le choix. Je n’exclus d’ailleurs pas de te demander cela plus souvent par la suite. J’ai lu qu’une étude récente a démontré que le soutif démuscle la poitrine et que des femmes qui n’en portent plus voient leur poitrine se tonifier. Mais on verra plus tard. Pour l’instant c’est juste pendant les courses. C’est bien clair ?

C : Oui Maîtresse.

MG : Au niveau sexuel, où en es-tu ? Le sentiment de manque que tu évoquais dans ton dernier post se confirme-t-il ?

C : Oui. Les jours où je n’ai pas le droit à l’orgasme le soir, c’est dur. J’ai de plus en plus souvent des pensées érotiques qui me traversent tout au long de la journée. J’en ai même un peu honte, mais il m’arrive de fantasmer sur certains hommes que je croise dans la rue et qui me plaisent.

MG : Bien ! Question pas très sexy mais as-tu repéré plus de pertes dans tes strings en fin de journée ?

C : Oui… C’est vrai. J’ai remarqué en effet que j’ai plus de pertes depuis quelques temps…

MG : c’est parfait ! Ca signifie que ton corps prend l’habitude de garder ton vagin lubrifié. Ce ne sont pas des pertes mais de la cyprine en fait. Nous allons pouvoir avancer. Tu vas continuer à te caresser quotidiennement mais je réduis le nombre d’orgasme à 2 par semaine.

C : oh ! Maîtresse ! Ca va être super dur !

MG : Oui mais c’est le but recherché. Je te veux continuellement excitée et seule la frustration régulière peut te maintenir durablement dans cet état. Je vais te faire cependant un petit cadeau…

C : Oui Maîtresse ?

MG : Tu n’as pas de petit copain. Mais as-tu des aventures régulières ?

C : C’est-à-dire ?

MG : des plans culs. Des relations d’un soir.

C : Non. Je n’ai jamais couché pour coucher. C’est toujours arrivé après un début de relation amoureuse.

MG : Et bien si tu veux soulager ta frustration, tu auras le droit de jouir en plus de tes 2 orgasmes solitaires hebdomadaires uniquement si tu couches avec un mec. Mais attention ! Uniquement en plan cul. Pas de relation durable.

C : Mais je ne sais pas faire ça…

MG : Si tu en as vraiment besoin, tu vas apprendre. Sinon tu t’en passeras et tu te contenteras de tes 2 orgasmes solitaires. Dernière précision : sur ces plans cul, c’est le mec qui devra te faire jouir. Interdiction de te masturber pendant qu’il te fait l’amour. Donc il va falloir bien choisir car sur ce genre de plan, tous les mecs ne pensent pas toujours à donner du plaisir à leur partenaire. J’imagine ta déconfiture si non seulement tu t’offres pour avoir du plaisir mais qu’en plus le mec te laisse en plan.

Dernière précision : préservatif OBLIGATOIRE ! Aucun rapport non protégé sur ce genre de plan avec des inconnus. C’est bien compris ?

C : Oui Maîtresse.

MG : Bien. On en reste là pour aujourd’hui. Si jamais tu as un plan cul, je veux un rapport détaillé sur ton blog. Bon courage ma soumise et à bientôt.

Par Céline
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 1 octobre 2 01 /10 /Oct 17:06

Voilà maintenant 1 mois et demi que j’ai commencé à me soumettre à Géraldine et Pierre (bien que celui-ci n’intervienne pour l’instant pas du tout. Petit bilan…

Le premier changement notable par rapport à ma vie d’avant, c’est tout le côté vestimentaire. Au début, l’obligation de porter des jupes, des talons, de la lingerie était une peu fastidieuse pour moi qui me suis toujours habillée en garçon manqué. Je me sentais mal à l’aise dans ces vêtements féminins que je ne pensais pas faits pour moi. Mais ce qui me fait tout doucement changer d’avis, c’est le regard de mon entourage.  Je ne parle évidemment pas de tous ces hommes inconnus que je croise dans la rue et qui lorgnent avec envie mes jambes un peu dénudées ou ma poitrine mise en évidence par un top un peu moulant ou décolleté… Ca ça a encore plutôt tendance à me mettre mal à l’aise car j’ai l’impression qu’ils voient en moi une fille sexuellement facile. Géraldine me dit qu’il ne faut pas que je sois gênée mais au contraire flattée de commencer à devenir objet de convoitise. Je n’en suis pas encore là du tout. Non, ce qui me fait évoluer, c’est plutôt le regard de mon entourage proche. Ma famille d’abord qui a été un peu surprise du changement mais qui n’arrête pas de me complimenter sur ce changement qui me met en valeur disent-ils. Idem pour mon réseau d’amies proches qui trouve que ce style me va très bien. Mais l’avis qui compte beaucoup pour moi c’est celui de ma meilleure amie Caro. C’est une fille super féminine et je sais qu’elle a un regard très affuté et très critique sur le style vestimentaire des autres. Jusqu’alors, elle ne m’a jamais fait de cadeau à ce niveau-là sachant tout à fait me dire que « j’étais habillée comme un sac » quand je poussais le bouchon trop loin. A côté de ça, elle essayait de me guider dans mes choix vestimentaires mais je refusais systématiquement toutes ses propositions. Je m’appuie donc beaucoup sur elle, apprenant jour après jour comment il faut composer les tenues pour être féminine sans être vulgaire. Et Géraldine a totalement validé les choix sur les vêtements que Caro m’a fait acheter.  Du coup je prends un peu confiance en moi au niveau vestimentaire et je commence à prendre plaisir à m’habiller de manière féminine. Il m’arrive encore de temps en temps de porter des pantalons mais ça devient de plus en plus rare d’autant que je n’ai droit qu’à 2 jours par semaine.

Concernant les sous-vêtements, je dois reconnaître que j’ai eu un peu de mal avec les strings au début. Sensation très étrange que celle d’être fesses nues sous la jupe. Mais pas trop le choix puisque Géraldine a interdit la culotte avec les jupes. Donc il faut bien s’y faire.

Avec l’arrivée de l’automne, il a fallu également que je me mette aux collants. Là grosse épreuve pour moi… Limite un traumatisme de petite enfance quand ma mère me faisait porter des collants en coton qui collaient à la peau et surtout quand il fallait tout retirer pour aller faire pipi… Déjà j’ai eu de la chance : l’été tardif m’a permis de repousser l’épreuve à fin septembre. Mais bon, là je n’ai plus trop le choix : entre ça et me geler les fesses, c’est vite vu ! Par contre quelle galère ! Quand une paire me fait 2 jours, je suis contente. Caro me dit que c’est affaire d’habitude… Malgré ses ongles longs, elle réussit à ne pas les filer. Moi, à chaque fois, ils finissent à la poubelle. Je m’aperçois qu’être femme ça ne s’apprend pas du jour au lendemain !

 

Autre gros changement pour moi : la nudité. Dans ma famille, la nudité a toujours été taboue et, même après la douche, on se gardait bien de sortir de la salle de bain en serviette. Donc ça me fait encore très bizarre quand j’arrive chez moi de devoir me dénuder entièrement et surtout de devoir faire les tâches quotidiennes dans la tenue d’Eve. Par contre, je ne sais pas comment je vais faire cet hiver parce que déjà là je rallume un peu le chauffage en soirée pour ne pas avoir trop froid mais quand ça va geler dehors, je ne sais pas si je vais supporter la nudité. J’en parlerai à Géraldine. Sinon, mon stress c’est d’être aperçue par les voisins. Je n’ai plus le droit de baisser les stores donc j’évite scrupuleusement de trop m’approcher des fenêtres. Seulement ce n’est pas simple car il faut bien continuer à vivre normalement.  Un soir de la semaine dernière, j’avais un peu abaissé ma vigilance et la nuit arrivant plus vite, j’ai machinalement allumé la lumière du salon pendant que je passais l’aspirateur, totalement nue évidemment.  Quand je m’en suis aperçue, coup de panique ! J’ai tout éteint et je suis allée vérifier aux fenêtres qu’aucun voisin ne m’observait. Je pense que personne ne m’a vue mais je m’en suis voulu énormément.

 

Mais sans doute le changement le plus radical dans ma nouvelle vie se trouve au niveau de ma libido. Dans notre échange mi-août, Géraldine a clairement expliqué son projet de réveiller ma libido et de, non seulement m’habituer à me masturber régulièrement, mais en plus d’instaurer un genre de besoin sexuel chez moi. Moi qui n’ai jamais été très portée sur la masturbation, j’étais un peu sceptique sur le fait qu’elle puisse me rendre dépendante au sexe de cette façon. Et bien j’étais pleine de désillusions !

J’ai donc pris l’habitude de me masturber tous les soirs en me couchant. Au début, c’était purement mécanique et ça ne m’apportait pas grand-chose. Puis, insidieusement, j’ai commencé à ressentir du plaisir, voire même, mais sans le conscientiser à ce moment là, à attendre le coucher avec gourmandise.  Puis est venue la consigne de me faire jouir un jour sur trois. Au début, les jours sans orgasme, ça restait superficiel.  Mais soir après soir, semaine après semaine, je prenais goût à ces plaisirs solitaires. Je commençais à attendre l’orgasme avec non plus gourmandise mais réelle envie. Le déclic a eu lieu un soir où j’ai regardé à la télé un film avec une scène un peu torride entre 2 amants. Auparavant, j’aurais carrément zappé. Ca m’aurait mise trop mal à l’aise. Mais ce soir là, j’ai senti une boule de chaleur m’envahir le bas-ventre et le désir s’installer. C’était le second soir sans orgasme puisque j’avais joui 2 jours auparavant.  J’en ai totalement honte, mais le temps que je conscientise de mon état, j’avais déjà le sexe tout humide… Par amour propre, je n’ai pas voulu me laisser aller à la pulsion qui aurait consisté à me caresser sur l’instant. Seulement, tout ça m’a omnibulée tout le reste de la soirée et au lieu de calmer mon excitation, cette attente n’a fait que l’attiser. Quand enfin je me suis couchée, j’avais le sexe cramoisi ! Je ne m’étais encore jamais sentie dans cet état. J’ai donc commencé à me masturber lentement car je sentais qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que je jouisse. Je rejouais la scène d’amour dans ma tête, m’imaginant à la place de la jeune femme. Il fallait que je tienne 15mn et pourtant, au bout de 5 j’étais déjà au bord de l’explosion. Il m’a fallu un effort surhumain pour tenir 10mn supplémentaires sans jouir. Mais le pire était à venir car en effet, quand les 15mn ont été écoulées, il a bien fallu arrêter la masturbation. Je n’avais pas le droit à l’orgasme ce soir là. Et bien là, j’ai réellement compris ce que Géraldine avait voulu dire quand elle avait parlé de « sentiment de frustration ». C’est une véritable torture psychologique (et physique) de devoir se priver de l’orgasme libérateur quand on est dans cet état d’excitation avancée. Je n’avais encore jamais connu ce sentiment. Mais le pire c’est que la nuit n’a rien arrangé. J’ai eu beau essayer de me calmer, de penser à autre chose, l’image de ce couple faisait l’amour revenait inexorablement me hanter et relancer mon désir. Le lendemain même chose. Difficile de se concentrer au boulot. Mon esprit partait à vagabonder sur des pensées érotiques. Bizarrement, je me suis couchée très tôt le soir ! Quant à l’orgasme : il a été d’une intensité que je n’avais encore jamais ressenti.

Cette mésaventure a donc été le déclic. D’une part, j’ai découvert que mes besoins sexuels n’avaient déjà plus rien à voir avec le temps avant ma soumission. D’autre part, j’ai aussi compris que je ne les maitrisais plus vraiment puisque c’était ma Maîtresse qui avait induit ce changement et qui me dictait quand je pouvais ou pas les satisfaire.  J’ai alors conscientisé mon état de soumise et au lieu de me faire peur, ça m’a renforcé dans mon choix.

Sentiment important également car à partir de là, je n’ai plus jamais abordé les masturbations quotidiennes de la même façon. Chaque caresse sur mon sexe est alors devenue un cadeau à mes Maîtres. Et rien que le fait d’y penser suffit à m’exciter. L’inconvénient, c’est que maintenant, c’est de plus en plus souvent que je me retrouve dans l’état de l’autre soir et que je finis très frustrée. Et cercle vicieux : plus je me sens frustrée, plus je me sens soumise ! Géraldine est vraiment diabolique car par cette consigne qui n’y paraissait rien, elle est réellement en train de m’emmener sur la pente de la soumission.

 

Voilà comment de fille sage et prude, je suis en train de devenir une femme soumise et heureuse de l’être. J’ai à la fois hâte et un peu peur de la suite mais je l’attends avec sérénité car je sens que je suis dans la bonne direction. Aventure à suivre !

Par Céline
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 16 septembre 1 16 /09 /Sep 14:46

J’ai pris un peu de retard dans mes publications. Je vais reprendre à cet échange début septembre :

 

C : Bonjour Maîtresse

MG : Bonjour Céline. Voilà 3 semaines que tu as commencé à vivre en soumise. Nous allons faire un petit bilan pour voir si nous pouvons continuer. J’attends de toi que tu me répondes sans rien omettre et en me faisant part de tous tes états d’âme.

C : bien Maîtresse.

MG : Commençons par les vêtements. Tu t’es débarrassée de ceux que je ne voulais plus voir dans ta garde-robe ?

C : Oui. Ca m’a fait un peu drôle de jeter tout ça. C’est un peu comme si je jetais ce qui faisait mon identité auparavant.

MG : C’est exactement ça le but recherché. Si tu les avais gardés dans un carton, psychologiquement ça n’aurait pas fait le même effet. Le fait de les jeter, te fait prendre conscience que tu dois totalement renoncer à ta vie d’avant et accepter ta nouvelle vie de soumise. As-tu respecté mes consignes. As-tu commencé à mettre tes jupes régulièrement ?

C : Oui, bien sûr. La première semaine, j’ai commencé par la robe. J’ai parfois (très rarement) porté des robes mais jamais en-dessus du genou. J’aime bien la coupe et le motif mais je la trouve presque un peu courte…

MG : Elle t’arrive où ?

C : aux 2 tiers de la cuisse environ…

MG : Ce n’est pas vraiment court. Tu porteras plus tard des tenues beaucoup plus courtes.

C : plus courte que ça !

MG : oui, mais pas au boulot. Il y a une tenue pour chaque chose. Mais en effet, plus tard en soirée, je te ferai porter des jupes « raz la fouf » et sans culotte en plus.

C : sans culotte ! Mais déjà là, au moindre mouvement je ne crains que ça : me pencher un peu trop et que l’on voit ma culotte !

MG : Mais ma petite Céline, il va falloir oublier ta pudeur et accepter que des inconnus puissent un jour apercevoir ton intimité. Le corps d’une soumise ne lui appartient plus et au contraire, elle doit prendre ça comme un honneur de rendre les partie de son corps les plus intimes potentiellement visible par n’importe qui.

C : Je n’y suis pas encore prête !

MG : Je sais. Et c’est bien pour ça qu’on y va par étapes. Je ne vais pas te demander dès maintenant ce genre de chose. Mais il faut te dire que nous y viendrons quand tu seras plus expérimentée. Et la jupe ? Tu l’as mise ?

C : Oui la semaine dernière, avec un chemisier comme vous aviez dit.

MG : Et alors ?

C : Et bien même remarque. Je ne suis pas très à l’aise mais je suppose que ça va venir.

MG : Comment a réagi ton entourage ?

C : Evidemment au boulot personne n’a rien dit mais j’ai lu des regards très surpris.

MG : négatifs ?

C : Non ! Plutôt étonnés. C’est bizarre mais j’ai cru sentir également certains regards jaloux chez certaines collègues. Je n’aurai jamais cru que je pourrais susciter de la jalousie…

 

MG : Tu vas découvrir également qu’une belle femme qui sait se mettre en valeur provoque l’envie. Peut-être as-tu déjà senti également des regards un peu plus appuyé chez certains hommes ?

C : Oui je dois l’avouer. Au boulot mais aussi dans la rue. D’ailleurs ça me mets  très mal à l’aise.

MG : Ca ne m’étonne pas. Mais il va falloir t’y faire. Une soumise se doit d’être désirable. C’est justement l’objectif  de susciter le désir autour de toi.

C : Oui mais moi qui aime passer inaperçue…

MG : Cette époque-là est révolue. Tu dois l’accepter. Plus ça va aller, moins tu passeras inaperçue, mais toujours en finesse et en raffinement. Jamais de manière vulgaire.

Tu as garni ta garde-robe comme je te l’avais demandé ?

C : Oui. J’y suis allé avec ma meilleure copine Caro. A l’inverse de moi, elle est très branchée mode et féminité.

MG : bien ça ! Elle t’a conseillée ?

C : Oui. D’ailleurs elle n’en revenait pas que j’achète des jupes, des robes et des tenues féminines. Ca fait 5 ans qu’elle essaye de m’en faire porter et je n’avais jamais cédé.

MG : Tu m’enverras des photos de ce que tu as acheté.

Les talons ? Ca donne quoi ?

C : Je n’y suis pas habituée donc j’ai un peu mal aux pieds le soir, mais je m’y fais.

MG : Bien. Parlons maintenant de tes sous-vêtements…

C : Un peu de mal avec le string… C’est tellement petit que ça me donne l’impression de ne rien porter du tout.

MG : C’est le but recherché d’un string : limiter le tissu au strict minimum. Mais ça va venir. As-tu fait la combinaison jupe-string ?

C : Je dois avouer que j’ai évité. Je n’étais déjà pas très à l’aise en jupe alors avec un string dessous…

MG : Bon, je n’avais rien précisé sur ce point-là. Par contre, à partir de maintenant interdiction de porter une culotte sous une jupe. Tu as le choix entre le string et la nudité.

C : Je vais mettre un string !

MG : Comme tu veux ! Que penses-tu de tes nouveaux soutifs ?

C : C’est vrai que c’est autre chose que ce que je mettais auparavant. Je dois vous accorder qu’ils sont très jolis, très féminins. Le tissu est peut-être un peu fin et transparent…

MG : Je me doutais que tu dirais ça ! Je commence à te connaître !

Tu respectes la consigne de toujours être nue chez toi ? Tu es nue là ?

C : Oui…

MG : Bien. Comment le vis-tu ?

C : Je n’ai jamais vraiment apprécié la nudité. Ma pudeur. J’ai toujours la crainte qu’on m’aperçoive  par la fenêtre. En fait c’est ma crainte. J’habite dans un petit pavillon en lotissement. J’ai des voisins en vis-à-vis quasiment à chaque fenêtre. Heureusement tout est en stores électriques donc je n’ai pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour fermer les volets le soir.

MG : Mais tu les laisses ouverts en journée ?

C : Et bien… Disons que je les baisse un peu, histoire de préserver mon intimité…

MG : Tu n’as pas de rideau ?

C : Si mais ils sont transparents. J’ai peur qu’on ne me voit à travers…

MG : Ce que tu me dis me contrarie un peu. Ne t’ai-je pas expliqué tout à l’heure que tu dois prendre ça comme un honneur de laisser entrapercevoir ton corps à autrui ?

C : Mais…

MG : Il n’y a pas de mais ! Si je te demande de vivre nue, ce n’est pas pour te cacher derrière des stores. Je ne te demande pas d’aller t’exposer nue n’importe où. Certains maîtres exigent de leur soumise qu’elle s’exhibe sur les ponts d’autoroute. Moi je trouve ça très vulgaire et jamais je ne te le demanderai.  Par contre, qu’un voisin puisse deviner ta nudité derrière un rideau transparent, je trouve ça très érotique. Interdiction donc dorénavant de baisser tes stores avant que tu n’aies besoin d’allumer la lumière chez toi. C’est bien clair ?

C : C’est clair Maîtresse.

MG : Tu as jeté tes pyjamas ? Tu dors en nuisette ?

C : Oui Maîtresse.

MG : C’est quand même plus féminin, tu ne trouves pas ?

C : Je dois vous l’accorder Maîtresse.

MG : As-tu dormi nue une ou deux fois ?

C : Il a bien fallu. Avec une seule nuisette, je n’ai pas pu faire autrement quand il a fallu la laver. Ne pourrais-je pas en acheter une ou deux autres ?

MG : Non justement. La nuisette c’est transitoire. Une soumise dort nue. Tu n’en auras bientôt plus besoin. D’ailleurs à partir d’aujourd’hui, tu alternes : une nuit en nuisette et la nuit suivante nue. Si tu dors hors de chez toi, tu as le droit à la nuisette.

Bien venons-en maintenant au travail de ta libido. As-tu respecté tes 15mn quotidiennes de masturbation ?

C : Oui bien sûr.

MG : Alors comment le vis-tu au bout de 3 semaines ? Décris-moi tout ça.

C : Les tous premiers jours, c’était assez difficile. J’essayais de me détendre mais je me sentais sale de me caresser ainsi seule dans mon lit, de manière automatique. Sans stimulation réelle, s’en était presque douloureux.

MG : A ce point là ? Mais tu as utilisé du lubrifiant ?

C : Oui. En fait quand je dis douloureux, ce n’est pas vraiment au sens physique. C’était plutôt comme un refus physique de mon corps. Du coup les caresses n’étaient pas très agréables.

MG : Bon OK. Mais tu disais « les premiers jours »…

C : Oui. Au bout de 4-5 jours, j’ai réussi à dépasser cette sensation de blocage et je me suis forcée à me détendre.

MG : Bien et alors ?

C : Beaucoup mieux. Bon, se caresser « à froid » n’est pas facile les premières minutes mais au bout de 3-4 minutes, je me détends, je commence à prendre du plaisir et à lubrifier naturellement.

MG : Intéressant ça. Tu mouilles à chaque fois ?

C : Maintenant oui. Il me faut quelques minute pour me mettre en route et après ça démarre.

MG : En ressens-tu du plaisir ?

C : Ces derniers jours oui.

MG : De la frustration ?

C : C’est-à-dire ?

MG : Te sens-tu frustrée de devoir t’arrêter sans jouir ? L’orgasme te manque-t-il ?

C : Non pas à ce point là. Evidemment, on n’aime pas arrêter quelque chose d’agréable mais pas au point d’en être frustrée.

MG : Bon. Alors on va changer un peu de stratégie. Tu vas continuer ces caresses quotidiennes mais tu devras avoir un orgasme un jour sur 3. Les 2 jours suivants, tu te caresses 15mn et tu t’arrêtes.  C’est bien clair ?

C : D’accord. Mais, ça va faire beaucoup d’orgasme par semaine !

MG : Justement. J’aimerais bien réveiller un peu ta libido. Une femme excitée sécrète des hormones sexuelles. Ca la rend désirable et ça exacerbe sa féminité. C’est chimique. Une soumise se doit d’être continuellement désirable.

C : Vous voulez dire que l’objectif de ces masturbations quotidiennes est de me rendre en quelque sorte dépendante au sexe ?

MG : C’est un peu ça. Il faut comprendre que la libido de l’homme est physiquement  et continuellement stimulée par ses testicules. Chez nous les femmes, ce n’est pas le cas. Donc pour palier à ça, il faut simuler quotidiennement ta libido pour que s’installe en effet une sorte de besoin. Quand elle sera en place, tu produiras régulièrement des hormones sexuelles et donc tu n’en seras que plus désirable.

C : Vous me faites peur en me disant tout ça. Je ne vais pas devenir nympho ?

MG : Une nympho est une femme qui ne sait pas raisonner ses pulsions sexuelles. Ca n’a rien à voir. Eprouver du désir et l’assouvir n’importe comment avec n’importe qui n’a rien à voir.

Bon, je vais devoir te laisser. Peux-tu me récapituler tes consignes :

C : 1/ Ne plus mettre de culotte avec une jupe

2/ Vous envoyer les photos de mes nouvelles fringues

3/ ne plus fermer les stores chez moi en journée

4/ dormir nue une nuit sur deux

5/ Continuer à me masturber tous les jours mais avoir un orgasme un jour sur 3.

MG : Bien. Je vais ajouter maintenant que c’est 4 jours de boulot par semaine que tu dois être en jupe + le week-end.

C : C’est compris Maîtresse.

MG : Bon je te laisse et te dis à très bientôt.

C : Merci Maîtresse. A bientôt.

Par Céline
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 20 août 2 20 /08 /Août 11:33

Je dois être honnête : Maîtresse m’avait prévenue que le changement de style vestimentaire serait le point de départ et je ne suis pas vraiment étonnée des choix radicaux qu’elle a faits dans ma garde-robe. Ca fait déjà longtemps que mes meilleures amies m’ont fait comprendre que je ne me mets pas en valeur avec ces vêtements. Donc j’assume… J’attends par contre le colis avec un peu de stress. J’espère que les vêtements qu’elle m’a choisi ne seront pas trop osés quand même. Pour les sous-vêtements, je n’ai jamais porté de string donc ça va me faire un peu drôle au début… Mais au moins, sous mes vêtements ça restera discret. Concernant les masturbations quotidiennes, là ça va également être un sacré changement pour moi. Je n’ai pas l’habitude de me masturber et je n’en éprouve pas vraiment le besoin. Mais bon, on va s’y mettre. Je me doute là encore que ce n’est qu’un début donc autant m’y habituer.

Par Céline
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

  • : Le journal très intime de soumise Céline
  • Le journal très intime de soumise Céline
  • :
  • : Je m’appelle Céline. J’ai 21 ans. Il y a quelques mois, j'étais encore une jeune femme sage à la vie sans histoire. Ce blog est le journal intime de mon cheminement vers la soumission.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus