Lundi 30 juin 1 30 /06 /Juin 14:29

Voilà plusieurs mois que je n’ai pas posté de message sur le blog. Maitresse m’a donc demandé de faire un petit rapport de ces 2 mois et demi passés qui furent par ailleurs assez intenses. Je vais donc essayer d’être méthodique en abordant chaque aspect l’un après l’autre. Tout d’abord, au niveau vestimentaire, je continue sur la même lignée que depuis le début de ma soumission : je ne porte plus que des jupes, plus ou moins courte selon les jours. De manière générale, mes tenues sont toujours féminines et j’ai appris avec Maîtresse à trouver chaque jour la juste combinaison de vêtements qui me permette d’être toujours sexy sans être jamais vulgaire, désirable sans être provocatrice. Le regard des hommes sur moi a énormément changé. Avant j’étais toujours la fille transparente, jolie mais insipide. Maintenant les hommes se retournent sur mon passage dans la rue. Au boulot, mes collègues hommes ont toujours des attentions gentilles vis-à-vis de moi. Bon, je ne suis pas dupe : je sais que ce n’est jamais totalement gratuit et que beaucoup aimeraient me mettre dans leur lit. Auparavant, c’est justement ce regard des hommes qui me mettait mal à l’aise. Maintenant, j’ai appris par la force des choses à assumer et même à jouer avec. Je n’ai plus du tout droit à aucune forme de culotte ni même de string. Depuis quelques semaines j’ai du apprendre à gérer la nudité totale sous mes jupes. Ca reste encore un point un peu difficile pour une fille pudique comme moi. Surtout que certains jours, j’ai des jupes assez courtes et c’est toute une stratégie pour masquer mon intimité. Les tabourets hauts type de bar sont un vrai cassement de tête quand on est en jupe sans culotte. Certains escaliers modernes sont également très adaptés. La situation la plus humiliante que j’ai eu à affronter dernièrement était un escalier métallique ajouré seul accès pour entrer dans un bâtiment public. Le café se trouvant au rez-de-chaussée avait installé une table juste en-dessous de l’escalier. Jupe courte et légère ce jour-là, tout était réuni pour offrir une vue imprenable sur mon intimité. Je me suis vu attendre 45mn que la table se libère mais le client n’avait pas l’air pressé. J’ai fini par me lancer en essayant de serrant au maximum les cuisses en montant mais pas facile de monter un escalier en talons, cuisses serrées. J’ai préféré ne pas regarder si l’homme installé dessous avait levé la tête ou pas mais s’il l’a fait, il a du se régaler ! Je me suis sentie mal à l’aise tout l’après-midi. Mon angoisse était qu’il m’attende toujours à ma sortie, mais heureusement il était parti. En plus de ne plus porter de sous-vêtement sur mon sexe, Maîtresse m’impose de le maintenir parfaitement et intégralement épilé depuis plusieurs semaines. Le pli a été un peu difficile à prendre et puis maintenant le rythme est pris. Mais tout ça prend du temps. Moi qui passait très peu de temps à me pomponner auparavant, je prévois maintenant quasiment une demi-journée par semaine pour les soins corporels (épilation, manucure, etc…) ce à quoi je dois ajouter une demi-heure quotidienne pour me maquiller et me coiffer. Etre féminine ça prend du temps ! Ca c’est pareil : avant je ne me maquillais jamais. J’ai appris à le faire pour féminiser mon allure mais toujours de manière raffinée et jamais vulgaire. Maîtresse m’a également demandé de laisser pousser mes cheveux mais ça veut également dire prendre le temps de les brosser et de les coiffer chaque jour. Chaussure plates, baskets, tennis je ne connais plus. Je suis toujours en talon maintenant. Au niveau vestimentaire, la dernière touche imposée par Maîtresse est le port systématique de soutien-gorge « seins-nus ». C’est un sous-vêtement ayant l’armature du soutien-gorge, soutenant la poitrine mais sans bonnet donc laissant le haut du sein et l’aréole complètement nus. Ca redresse donc la poitrine mais le téton reste nu sous les vêtements. Sous un pull, ça ne se voit pas trop mais avec un top fin ou moulant, il pointe indécemment sous le tissu. Evidemment c’est l’effet recherché mais moi ça continue à me mettre un peu mal à l’aise, d’autant que j’ai des tétons assez marqués… Toutes ces règles c’est pour l’extérieur car quand je suis chez moi, j’ai l’obligation de rester entièrement nue. Au niveau sexuel maintenant… Je porte des boules de geishas de manière plus que régulière. Dès que j’arrive chez moi, je commence par passer aux toilettes et me les insérer dans le vagin. Obligation imposée par Maîtresse. Je ne peux les retirer que juste avant de sortir. Au fur et à mesure des semaines passées, Maîtresse m’a progressivement imposé de les porter de plus en plus souvent en dehors de chez-moi, y compris au boulot. Actuellement j’ai le droit à 3 demi-journées sans boule par semaine mais c’est tout. Autant dire pas grand-chose… Elles font donc partie de mon quotidien maintenant. Quand je suis assise, elles se font oublier. Par contre dès que je m’active un peu, ne serait-ce qu’en marchant, elles vibrent légèrement en moi. C’est très subtil comme impression. Sans être une stimulation sexuelle directe, elles me maintiennent dans un état que je pourrais qualifier de « disponibilité sexuelle » qui se traduit concrètement par une lubrification vaginale quasi continue. Après, quand par ailleurs je suis excitée, elles amplifient également cette excitation. Si je ne pense pas du tout au sexe, elles vont réveiller ma libido - par exemple au boulot, assise devant mon PC et concentrée sur une tâche, si je me lève pour aller chercher un classeur, la douce vibration va rapidement réchauffer mon bas-ventre et éveiller mon désir. Douce torture que celle de ces boules blotties discrètement au creux de mon vagin… Leur autre fonction, ça été de muscler mon périnée. Par quelques exercices simples que m’a enseignés Maîtresse, elles m’ont aidé à travailler l’élasticité de mes muscles vaginaux. Selon Maîtresse, il est important que le vagin des soumises soit souple pour satisfaire n’importe quelle taille de pénis. Je crois que la mission est atteinte car les boules glissaient parfois un peu avant mais maintenant, même debout un long moment, je peux les faire remonter simplement par quelques contractions vaginales. Autre demande de Maîtresse ces derniers mois : me masturber de manière systématique plusieurs fois par jour. J’en suis rendue à 6 masturbations quotidiennes ! Je crois que la plupart des femmes, ne se rendent pas compte ce que représentent 6 masturbations par jour. C’est un véritable défi physique. Moi qui ne me masturbais que très rarement avant, c’est un changement considérable dans ma sexualité. C’est aussi psychologiquement très perturbant au début parce que la masturbation est ce qu’il y a de plus intime et se voir obligée de le faire sur commande à horaire déterminé nous met réellement en position de soumission. En tout cas, pour mon cas, je crois que c’est là où tout se joue. C’est à la fois très humiliant pour moi mais finalement je crois que c’est cette humiliation que je recherche dans mon expérience. La particularité, c’est que j’ai interdiction de jouir à chaque fois. Je vous laisse imaginer la frustration que ça peut provoquer. Je dois pousser la masturbation au plus loin sans jamais franchir la ligne de non-retour. C’est un défi psychologique à la fois que de s’obliger à stopper le plaisir alors qu’on est à deux doigts de jouir. « L’effet secondaire » recherché par Maîtresse est de me maintenir en perpétuel état de manque sexuel. Et elle y réussit très bien ! Elle m’a expliqué que la différence physique entre les hommes et nous les femmes, c’est que pour eux, leurs glandes sexuelles sont toujours en activité. Donc même sans stimulation directe, le désir va naturellement monter de jour en jour, jusqu’à ce qu’ils soulagent leurs testicules. Pour nous les femmes, les glandes sexuelles se mettent au repos jusqu’à ce qu’une stimulation mette en éveil notre désir. Selon Maîtresse, par une stimulation sexuelle régulière, on obtient le même effet : maintenir les glandes sexuelles en éveil. Je ne sais pas si sa théorie est vraie au niveau scientifique pour toutes les femmes, mais en ce qui me concerne, ça n’a pas manqué ! D’un autre côté, en se caressant toutes les 2h sans orgasme, comment est-il possible d’en être autrement ? Evidemment qu’à chaque fois, ça me laisse dans un état de frustration tel que mon corps n’attend que le soulagement… qui ne vient pas plus à la masturbation suivante. Jusqu’au mois d’avril, Maîtresse m’autorisait l’orgasme à l’occasion de relations sexuelles avec un homme (et encore à condition que ce soit lui qui me fasse jouir, chose que tous les hommes ne savent pas faire quand ils ont une partenaire clitoridienne !) Mais depuis 2 mois, même ce droit m’a été retiré… Je dois avouer que c’est un peu ma faute… J’ai échoué sur une demande de Maîtresse et j’assume maintenant les conséquences. Je reviens là-dessus juste après. En tout cas la conséquence de cette frustration sexuelle continue c’est que j’ai l’impression depuis quelques mois que je ne suis plus qu’un sexe. Quand je suis concentrée à autre chose, j’arrive à ne pas trop y penser, mais dès que je suis un peu inactive, je n’ai qu’une envie c’est de me caresser. Quand je me balade dans la rue, il suffit que je voie un homme un peu sexy pour sentir une bouffée d’excitation envahir mon bas-ventre. A la télé n’en parlons pas… Heureusement, je n’ai pas un tempérament à aller draguer n’importe qui dans la rue donc j’arrive à tempérer et masquer ces pulsions, mais si j’étais plus extravertie, je pense que je passerais facilement pour une nymphomane (d’ailleurs ne le suis-je pas un peu finalement ?) La faute dont je parlais un peu plus haut a failli me faire tout arrêter il y a 4 semaines. Il s’agit de la pénétration anale. J’ai toujours été très réfractaire à cette pratique et n’ai jusqu’alors jamais laissé aucun partenaire ne serait-ce qu’approcher mon anus. J’étais donc totalement vierge de ce côté-là. Pour moi, c’est un orifice qui n’a rien de sexuel et qui n’est pas destiné à être pénétré. Mais il faut que je fasse preuve de totale honnêteté sur ce point : en acceptant le contrat de soumission, je me doutais bien qu’il faudrait que j’y passe. J’ai parcouru pas mal de blogs de soumises avant de me lancer et je ne suis pas naïve par rapport aux pratiques qui sont courantes dans le milieu. Je me doutais que Maîtresse finirait par me le demander. J’ai bien compris que les hommes affectionnent beaucoup la sodomie et espérer être la seule soumise refusant la pratique aurait été une belle illusion. Cependant, ce n’est pas parce qu’on a conscience de quelque chose qu’on est forcément prêt à l’accepter. Donc quand Maîtresse m’a demandé courant avril de commencer à préparer mon anus à de futures pénétrations, ça n’a pas été facile du tout. Elle y est pourtant allée avec patience : elle m’a juste demandé au début de commencer avec un simple crayon bille. Ça a été un échec... Je dois reconnaître avec le recul que si ça ne passait pas physiquement, c’était plus la répugnance de la pratique qui me bloquait en fait. Depuis le début de ma soumission, ça été le véritable premier échec. C’est aussi la première fois que Maîtresse a du faire preuve de fermeté pour me faire atteindre l’objectif fixé : elle m’a donné un mois pour me pénétrer avec un marker. Pour m’obliger à y arriver, c’est là où elle m’a mise en situation de frustration sexuelle perpétuelle, ne m’autorisant un orgasme que quand j’aurai atteint son objectif. J’ai pourtant mis beaucoup de volonté, mais fin mai je n’avais toujours pas réussi. Ca faisait pourtant presque 2 mois que je me masturbais 6 fois par jour sans le moindre orgasme. Je vous laisse imaginer mon état… Lors de notre chat fin mai, j’étais un peu désespéré et j’ai fait part à Maîtresse de mon questionnement sur ma capacité à poursuivre. Elle ne s’est pas énervée et m’a proposé de prendre les choses en main. 2 jours plus tard, j’ai reçu une lettre contenant un billet de train de chez moi à chez Maîtresse et quelques consignes. J’avais rendez-vous le week-end suivant chez elle. Là j’ai commencé à stresser parce que je me doutais de ce qui m’attendait. Un post suivant détaillera le déroulement de ce week-end… Dernier point que je dois aborder dans ce bilan des 2 mois écoulés, ce sont mes rapports sexuels multiples. Car en effet, Maîtresse m’a imposé 3 à 4 rapports mensuels avec à chaque fois un maximum de partenaires différents. Là encore c’est quelque chose que je n’aurais jamais imaginé possible d’envisager il y a un an ! Il y a maintenant quelques réguliers que je recontacte de temps en temps. L’avantage c’est que les choses sont claires entre eux et moi et ils savent que ce n’est que pour le sexe. Donc pas de quiproquo. Pas besoin de passer par la case premier contact-soirée-séduction avant de passer à l’action. Maintenant on se donne rendez-vous chez lui ou chez moi et on va droit au but. J’étoffe mon carnet d’adresses au fur et à mesure des semaines. Maîtresse m’impose de garder contact régulièrement même avec ceux que je qualifie de « mauvais coups », c’est-à-dire ceux qui se font plaisir sans forcément penser à leur partenaire. J’apprends à offrir mon intimité sans forcément espérer de plaisir en retour. Je trouve toujours ça très humiliant et dégradant quand mon partenaire ne considère mon corps que comme un objet sexuel. Et pourtant, je découvre maintenant que j’y trouve quand même une forme de plaisir psychologique. Jamais pendant l’acte lui-même qui se résume souvent à un coït dénué de sentiment. C’est plutôt après, quand je repense au rapport dans lequel je me suis volontairement mise en situation de soumission totale. Cet état de jouet sexuel éveille en moi une forme de plénitude sexuelle que je ne connaissais pas avant. C’est troublant.

Par Céline
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Samedi 3 mai 6 03 /05 /Mai 01:13

Première quinzaine : rappel des consignes

-          3 masturbation par jour (sans orgasme) dont une en dehors de chez moi

-          Soigner ma présentation physique – Maîtresse me conseille de prendre un abonnement chez l’esthéticienne

-          Pas reparlé des boules de geishas donc je continue comme avant (5 fois 2h par semaine dont 3 fois en dehors de chez moi)

-          Plus de string du tout sauf quand je porte les boules

-          Soutien-gorge classique interdit – obligation de porter uniquement des « seins-nus »

-          Toujours 3/4 rapports par mois – possibilité de m’inscrire sur un site de rencontre – obligation de trouver un homme par mois par rencontre classique

-          Une fellation par mois

-          Pour me préparer à la sodomie, je masse mon anus tous les soirs après la masturbation

 

Seconde quinzaine :

-          Je voudrais que tu t’achètes une paire d’escarpins avec 10 cm de talon pour aller travailler (cf lien en PJ)

-          Tu penses au travail de ton anus : à partir d’aujourd’hui, tu introduis un crayon tous les jours pendant les 15 jours à venir

-          Je t’autorise un orgasme solitaire dans la quinzaine. Choisis bien !

 

MG : Bonjour ma soumise. Comment vas-tu ?

C : Bien Maîtresse.

MG : Ce mois de soumission s’est-il bien passé ?

C : Tout s’est à peu près bien passé.

MG : Faisons le point. Commençons par le côté vestimentaire.

C : Je m’en tiens désormais au style que vous m’avez imposé : féminine mais jamais vulgaire. Je fais particulièrement attention à ma coiffure, à mon maquillage, à mes ongles. Ca me prend énormément de temps. Pour tout vous dire, je me lève maintenant une heure plus tôt tous les matins pour me pomponner et être prête à l’heure.

MG : Ca ne m’étonne pas. On ne devient pas féminine sans effort. Tu maintiens une épilation impeccable ?

C : Oui. J’ai pris l’abonnement chez l’esthéticienne comme vous me l’aviez conseillé. En plus ça m’aide à découvrir les astuces en maquillage, en épilation, en manucure…

MG : Tu as acheté la paire d’escarpins que je t’avais proposée ?

C : Je n’ai pas trouvé exactement la même, mais celle que j’ai prise est très similaire.

MG : Tu les portes régulièrement ?

C : Oui depuis la semaine dernière. C’est quand même haut 10 cm de talon. J’avais commencé à m’habituer à porter les talons mais là c’est encore une étape.

MG : Fais bien attention à ta démarche avec des talons hauts. Il faut se tenir bien droite. Au début, on peut avoir tendance à se pencher légèrement en avant pour compenser. Il n’y a rien de plus moche qu’une femme à talon qui ne se tient pas droite. En plus pour le dos c’est pas bon. La bonne tenue consiste à basculer les hanches vers l’avant et reculer légèrement les épaules pour rééquilibrer ton corps au-dessus de tes talons hauts.

C : Merci pour vos conseils.

MG : Toi qui était si peu féminine avant, ça doit te faire très drôle toutes ces nouvelles habitudes ?

C : En effet. J’ai l’impression de redécouvrir mon corps. En fait j’avais carrément nié le fait d’être une femme jusqu’à présent. Je me négligeais complètement. Or je découvre qu’en fait il y avait bien une fille un peu coquette cachée au fond de moi qui n’attendait que ça pour ressortir. Ca me redonne confiance en moi.

MG : J’en suis très heureuse. Pour qu’une soumise soit épanouie, elle doit être fière de son corps. Comme ça se passe pour le soutif « seins-nus » ?

C : En étant objective, je dois bien reconnaître que ça me va plutôt bien. Ca remonte mes seins juste ce qu’il faut pour mettre en avant leur galbe. Donc ça me fait plutôt une jolie poitrine. Par contre, ce qui continue à me gêner, c’est la nudité de mes tétons qui pointent sous le tissu. Bien sûr, selon les hauts que je porte, c’est plus ou moins voyant mais je ne peux plus vraiment les cacher.

MG : Encore une fois, pourquoi veux-tu cacher tes charmes ? Tu es une soumise. Tu dois t’assumer en tant que femme et au contraire susciter le désir chez les hommes en suggérant tes formes.

C : Mais c’est gênant…

MG : C’est gênant pour toi ! Tu crois qu’un seul homme est gêné par la suggestion de tes tétons ?

C : Non bien au contraire mais…

MG : Alors soit fière d’avoir une poitrine féminine. De toute façon c’est le seins-nus ou bien c’est poitrine nue.

C : Alors je préfère quand même le seins-nus. Ca me maintient.

MG : Donc le sujet est clos. Tu as renoncé aux strings ? Tu es désormais constamment nue sous ta jupe ?

C : Oui sauf quand je porte les boules.

MG : Bien. D’ailleurs à ce sujet, on n’en a pas reparlé le mois dernier. Comment ça se passe avec les boules. Ton périnée doit commencer à bien se muscler ?

C : C’est vrai que je maîtrise de mieux en mieux mon muscle vaginal. Les boules ne bougent plus trop. Dès que je les sens glisser légèrement, je contracte mon périnée et elles reprennent rapidement leur emplacement. 

MG : et sensations ?

C : Quand je les porte et que je m’agite, je marche… ça fait l’effet bizarre d’une sourde et continuelle vibration au creux de mon ventre. Comme une très légère stimulation sexuelle continuelle sans que ce soit pour autant assez précis pour m’exciter franchement.

MG : Tu mouilles en les portant ?

C : Disons que ce n’est quand même pas comme lors d’un rapport mais en effet, elles provoquent une humidité intime plus importante.

MG : OK, et malgré donc que ton vagin soit humide, elles ne glissent pas ?

C : Comme je vous le disais, elles bougent mais j’arrive maintenant à les faire remonter par des contractions.

MG : Pour être claire, tu ne les as jamais retrouvées dans le fond du string ?

C : Heureusement non !

MG : Donc c’est que tu n’as plus besoin du string…

C : Que voulez-vous dire ?

MG : Tu m’as bien comprise. Je crois que le string est superflu et que tu vas t’en passer même quand tu portes tes boules.

C : mais si jamais… Je sais pas un jour pas comme les autres… Je vous dis pas la honte !

MG : Il n’y a pas de raison que ça arrive mais bon je vais être compréhensive. Si vraiment tu veux, avant de les insérer, tu les attaches à un ruban que tu noues de l’autre côté à ta ceinture. Comme ça au pire, si elles sont éjectées, elles restent cachées par ta jupe le temps que tu cours aux toilettes. Tu fais comme ça pour l’instant et on verra d’ici quelques semaines.

C : Merci Maîtresse.

MG : Je veux que tu portes dorénavant tes boules continuellement quand tu es chez toi et 2 demi-journées complètes quand tu es au boulot.

C : Ca commence à faire beaucoup !

MG : Les boules permettent 1/ de muscler le périnée et 2/ de maintenir une lubrification constante, 2 qualités essentielles pour le vagin d’une soumise.

C : Je ferai comme vous voudrez.

MG : Parlons maintenant de ton anus. Se détend-t-il ?

C : Là c’est vraiment un point délicat. Je ne sais pas si je vais y arriver…

MG : Mais bien sûr que tu vas y arriver. Comme pour tout le reste.

C : Disons que j’ai tellement peur d’avoir mal que rien que le fait de masser mon anus rend le contact désagréable.

MG : Qu’on soit bien claires. Je ne te demande pas de trouver ça agréable. Je te demande de te rendre disponible par cet orifice là également car les hommes, eux, trouvent agréable de s’y enfoncer.

C : Bien sûr, mais…

MG : Arrête les « mais » ! Où en es-tu exactement ? Tu devais te masser tous les soirs pendant 15 jours puis passer à une pénétration par un crayon bic durant les 15 jours passés.

C : Disons que j’ai essayé le crayon mais il ne rentre pas…

MG : Tu rigoles ? Un crayon de 5 mm de diamètre couvert de lubrifiant ?

C : J’ai essayé mais je n’ai pas réussi…

MG : Là tu me déçois énormément.

C : C’est que la sodomie c’est vraiment quelque chose qui me répugne profondément…

MG : Donc si je comprends bien tu invoques ton droit au refus catégorique ?

C : Je ne vais pas aller jusque là mais il me faudrait plus de temps.

MG : Tu veux du temps ? OK ! Tu vas en avoir. J’avais prévu ce mois ci de passer à un crayon type «Marker ». Prends le temps qu’il te faut. Ton objectif est celui-là : de te pénétrer avec un crayon ou tout objet d’environ 2 cm de diamètre.

C : Merci beaucoup Maîtresse ! Vous êtes vraiment compréhensive ! Je vais faire de mon mieux.

MG : Attends… Il y a une contrepartie à ce « temps qu’il te faut »…

C : Ah…

MG : D’ici à ce que tu te sois pénétrée avec un marker, je suspends tout droit à l’orgasme, y compris lors de relations sexuelles avec un homme.

C : Comment ! Même si c’est mon partenaire qui me caresse ?

MG : C’est bien ça. Je suis convaincu que ton rapport au temps va rapidement changer dans ce contexte ! Ce qui te parait insurmontable maintenant, sera bientôt une formalité quand la tension sexuelle deviendra telle que tu seras prête à n’importe quoi pour jouir ! Et pour pimenter tout ça j’augmente durant ce même temps ton obligation à 5 masturbations par jour.

C : 5 par jour ! Mais ça va être intenable !

MG : Tu te masturberas le matin en te réveillant, en milieu de matinée pendant la pause, le midi, en fin d’après-midi en sortant du boulot et le soir en te couchant. Et quand je dis masturbation, je ne dis pas gentilles caresses : je dis bien stimulation franche jusqu’au point critique.

C : Je ne vais jamais pouvoir tenir ce rythme là !

MG : Il le faudra bien ! Tu as un mois pour assouplir ton anus. Tu connais l’enjeu maintenant. Je n’hésiterai pas à prolonger la punition s’il faut le mois prochain.

C : J’ai compris le message Maîtresse.

MG : Concernant tes rapports sexuels ? Qu’est-ce que ça a donné le mois dernier ?

C : J’ai suivi votre conseil et me suis inscrite sur 2 sites de rencontre. Je commence à avoir quelques contacts mais c’était encore trop tôt pour donner suite. J’ai donc rappelé Tom et Eric.

Tom c’était il y a 3 semaines. Super moment comme les autres fois. 3 orgasmes durant la nuit. C’est vraiment un gars très bien, très respectueux.

MG : Attention ! Pas de sentiment !

C : Non, non ! C’est bien clair entre nous. Ca ne m’empêche pas de l’apprécier comme amant. J’étais assez mal à l’aise quand je me suis déshabillée.

MG : Pourquoi ?

C : A cause de mon épilation intégrale…

MG : Ah oui c’est vrai ! J’avais oublié ! Et alors ? Il est parti en courant ?

C : Non au contraire… Il a commencé à m’embrasser partout sur le corps puis il est descendu entre mes jambes.

MG : Il t’a fait un cunnilingus ?

C : Oui.

MG : C’était quand même pas ton premier ?

C : Si… Disons que ma pudeur m’a toujours empêché de me laisser faire.

MG : Tu as aimé ?

C : C’est génial ! Il m’a fait grimper au rideau ! Je crois n’avoir jamais joui comme ça ! Je lui ai donc rendu sa caresse par une fellation. J’ai bien vu que j’étais un peu maladroite mais il ne m’en a pas tenu rigueur.

MG : Alors ? C’était pas si terrible que ça ?

C : Non c’est vrai qu’avec un préservatif, il n’y a pas de sécrétion.

MG : OK ; Et tes autres rapports ?

C : La semaine suivante, j’ai été draguée dans la rue. Drague un peu lourde mais mec pas mal. Nous nous sommes donc donné rendez-vous le soir même. Ca été correct mais sans que ce soit l’extase non plus. Il m’a caressée maladroitement mais a quand même réussi à me faire jouir.

MG : OK. Ensuite ?

C : Il y a une semaine c’était Eric. Il est vraiment convaincu que je le rappelle parce que c’est un super coup. Lui aussi a halluciné devant mon sexe lisse. Il a passé une demi-heure à me mater. J’étais super-mal à l’aise. Presque l’impression d’être chez le gynéco ! Mais je n’osais pas trop accélérer les choses puisque vous m’avez demandé d’accepter de me soumettre au plaisir de mon partenaire.

MG : Tu as bien fait. Si son plaisir c’est de mâter, tu dois te laisser faire.

C : Il a quand même fini par me pénétrer mais il était tellement excité qu’il n’a pas tenu 2mn.

MG : Il a remis ça ?

C : Bien sûr ! Et cette fois, il était beaucoup moins pressé !

MG : Tu as ressenti du plaisir ?

C : Disons qu’après 8 jours de masturbations interrompues, il ne m’en faut pas beaucoup pour être excitée. Sentir un sexe viril aller et venir en moi ne pouvait pas me laisser insensible. Mais impossible de jouir pour moi sans stimulation clitoridienne directe. Donc beaucoup de sensations pour une impression terrible de frustration à la fin car évidemment, malgré mes sollicitations il ne s’est pas occupé de mon clito.

MG : Une quatrième aventure ?

C : Oui le week-end dernier. Je suis sortie en boite avec Caro. J’ai rencontré un beau mec, Antoine. J’étais très excitée après 2 semaines de frustration et j’avais un peu bu.

MG : Attention ! Je ne veux pas te savoir ivre ! Une soumise ne perd jamais le contrôle.

C : Non ! non ! Je n’étais pas ivre. Quand je bois ce n’est jamais à outrance. Juste de quoi me désinhiber un peu.

MG : Bon OK. Et alors ?

C : Et bien ça s’est passé dans sa voiture…

MG : Dis-donc ! Tu te dévergondes !

C : C’est ce que je me dis aussi. Auparavant, jamais je n’aurais couché avec un homme dans une voiture.

MG : Sur le parking même de la boite ?

C : Non on s’est éloigné un peu.

MG : Et alors ? C’était comment ?

C : En fait j’ai beaucoup de mal à qualifier cette aventure. J’étais très excité et lui aussi. Ca été très viril (il est particulièrement bien membré). J’ai pris mon pied à la pénétration. J’ai eu énormément de plaisir vaginal. Par contre dans une voiture, les possibilités de positions sont limitées et ça ne facilite pas les caresses clitoridiennes. Je n’ai donc pas joui, mais j’ai fini beaucoup moins frustrée qu’avec Eric, par exemple.

MG : Bon c’est bien. 4 par semaine c’est une bonne moyenne. Essaye de continuer à ce rythme mais sans orgasme le mois à venir. Tu as bien compris.

C : Oui Maîtresse.

MG : Bon on va en rester là pour ce mois-ci. Bon courage pour le mois à venir et n’oublie pas de travailler ton anus.

C : Je vais faire mon maximum.

Par Céline
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Lundi 7 avril 1 07 /04 /Avr 17:45

Première quinzaine de mars : rappel des consignes données par Maîtresse pendant le chat

-          Continuer à porter les boules 5 fois 2h par semaine dont 3 fois en dehors de chez moi

-          Prendre rdv chez l’esthéticienne pour une épilation intégrale et rester dorénavant parfaitement lisse

-          Continuer à me caresser 2 fois par jour sans orgasme

-          Essayer d’avoir 3 à 4 relations sexuelles ds le mois avec le droit de recontacter 1 fois par mois des anciens contacts à condition de revoir également 1 « mauvais coup » à chaque fois

-          Lors de relations sexuelles, obligation de remettre ça autant de fois que le partenaire le veut

 

Seconde quinzaine de mars : consignes de Maîtresses :

-          Le printemps arrive. Il est temps d’adapter ta garde-robe. Nous t’avons envoyé un petit colis avec quelques tenues de saison. N’hésite pas à aller faire un peu de shopping en restant dans le même état d’esprit : féminin et sexy mais jamais vulgaire.

-          Oublie désormais les strings. Tu pourras juste en porter un quand tu porteras tes boules. On refera le point lors du chat.

-          Dans le colis, tu trouveras également 2 soutien-gorge « seins nus ». Pour les soumises avec un peu de poitrine comme toi, c’est un bon compromis pour obtenir la nudité des tétons tout en maintenant la poitrine en place. Ils remplaceront désormais tes anciens soutifs au quotidien. Le week-end, quand tu sors, tu vois : soit rien, sois tes « seins-nus ».

-          Dans le colis, tu as également 2 boites hermétiquement emballés. Interdiction de les ouvrir ou d’y toucher tant que je ne t’en aurais pas expressément donné l’ordre. Tu les ranges au fond d’un placard et tu n’essayes pas non plus de savoir ce qu’elles contiennent.

-          Pas d’orgasme cette quinzaine en dehors bien sûr de tes rencontres masculines.

 

MG : Bonjour soumise.

C : Bonjour Maîtresse.

MG : Comment vas-tu ?

C : Très bien. Le printemps est une saison que j’adore. Le beau temps recharge mes batteries.

MG : C’est parfait. Une soumise radieuse est toujours plus attirante qu’une soumise fatiguée. Et puis le printemps est aussi la saison où les hormones sexuelles s’activent particulièrement…

C : Je ne vous le fais pas dire ! Surtout quand il faut se caresser 2 fois par jour tout en restant abstinente !

MG : En effet ! Doux supplice surtout à cette époque-ci ! D’ailleurs on va passer à 3 : comme les médocs : une le matin au lever, une le midi et une le soir.

C : 3 fois par jour ! Je ne vais jamais tenir !

MG : Mais tu as le droit de coucher avec autant d’hommes que tu veux !

C : bien sûr mais vous devinez qu’au quotidien ce n’est pas simple : il faut sortir un minimum pour les trouver, puis prendre le temps de faire connaissance avant de coucher avec eux. En dehors des week-ends, difficile à faire…

MG : parce que tu restes sur un schéma de rencontre beaucoup trop classique ! Si tu savais le nombre d’hommes qui sont prêts à coucher sans s’embêter de tant de préliminaires !

C : Je ne vais quand même pas faire le tapin !

MG : Ah ça non ! Ce n’est pas une pute que je veux ! C’est une soumise qui respecte son corps car celui-ci appartient à ses maîtres. Ce n’est pas l’homme qui t’impose le rapport, c’est toi qui t’offre à lui.

C : La distance entre les deux est mince.

MG : En effet, mais c’est cette distance qui change tout. Tu vas le cerner au fur et à mesure de ton évolution.

C : Mais concrètement je n’ai pas le temps d’écumer les bars et les boites de nuit.

MG : Ca je comprends. Connais-tu des sites de rencontre ? Surtout pas des trucs spécialisés sexe. Là c’est que des nids à problèmes. Je veux dire des sites de rencontre classiques pour célibataires ?

C : Non. Mais ce n’est pas fait pour des rencontres d’une nuit ça…

MG : à la base non mais 60% des hommes qui l’utilisent sont en fait plus à la recherche d’une maîtresse que d’une femme pour partager leur vie. Quant aux autres, crois-tu que beaucoup cracheraient sur une nuit de baise ?

C : évidemment non…

MG : Donc si j’étais toi, je m’ouvrirais un profil histoire de créer des opportunités et me faire un petit carnet d’adresses. Par contre, tu n’invites jamais un mec en premier contact chez toi ou tu vas chez lui : toujours dans un lieu public histoire de voir à qui tu as à faire.

C : Bon je vais y penser…

MG : Et ça ne t’empêche pas de sortir régulièrement. Il ne faut pas tomber dans le tout « drague virtuelle ». Je veux te savoir émoustiller les mecs en boite ou en soirée également.

C : je repense aux masturbations : 3 par jour, ça veut dire qu’il va falloir que je fasse ça en dehors de chez moi le midi quand je bosse.

MG : Tu ne te masturbes jamais en dehors de chez toi ?

C : Non…

MG : Et bien voilà une nouvelle étape de ta vie de soumise. Tu vas apprendre à te masturber n’importe où. C’est l’un des avantages de ne pas porter de culotte aussi.

C : N’importe où ? Mais dans les toilettes quand même ?

MG : Oui pour l’instant, mets-toi à l’abri dans les WC. On verra par la suite.

Bon, tes nouveaux vêtements ? Ca donne quoi ?

C : Sympa ! Globalement j’aime bien ! Il y a juste la robe bleue qui est très courte.

MG : Je reconnais que là c’est un peu plus osé. A ne pas mettre au boulot. Mais le haut est sage donc ça ne fait pas vulgaire. En sortie ça t’ira très bien.

C : Tu as porté tout le reste ? Oui à peu près.

MG : Maintenant qu’on arrive dans la belle saison, je tiens absolument à ce que ta présentation soit impeccable. Je te veux raffinée et sexy dans tes vêtement courts. Jamais vulgaire. Pour ça, tout doit suivre : coiffure soignée tous les jours, maquillage délicat, manucure régulière, épilation nette évidemment, parfum léger, etc…

C : J’essaye mais comme je vous l’avais dit, je ne m’y connais pas bien dans tous ces « trucs de filles »…

MG : Il faut apprendre. Tu dois bien avoir une esthéticienne près de chez toi ?

C : Oui celle qui m’a fait l’épilation du maillot.

MG : et bien tu prends un abonnement chez elle. Au début, tu vas la voir tous les 15 jours. Elle va t’apprendre à te maquiller, te manucurer, etc… Quand tu sentiras que tu peux te débrouiller seule, tu pourras espacer les rendez-vous.  Pour le maillot ? Comment ça s’est passé ?

C : J’ai du prendre énormément sur moi. Vous connaissez ma pudeur… Finalement de devoir exposer mon intimité à cette femme a été bien plus difficile à vivre que la douleur de l’épilation en elle-même.

MG : Tu n’as pas eu mal ?

C : Vous rigolez ! Une vraie torture oui ! Pour les poils fourrés dans les replis des grandes lèvres, j’ai cru qu’elle allait m’arracher la peau !

MG : C’est vrai que ce n’est pas une partie de plaisir ! Mais une soumise doit souffrir pour être belle non ?

C : C’est une beauté très relative ! Je n’ai plus rien pour cacher les lèvres de mon sexe.

MG : Tu n’aimes pas ?

C : Ca me gêne d’être comme ça. Plus rien ne masque mon sexe.

MG : A part chez toi, tu n’es jamais réellement nue. Personne ne peut le savoir sauf tes amants évidemment.

C : Bien sûr. Je vous concède que c’est très psychologique. Mais se balader dans la rue avec juste une jupe courte, sans culotte dessous et avec le sexe totalement imberbe, c’est quand même très déstabilisant. J’ai l’impression de m’exposer toute entière.

MG : C’est souvent ce que ressentent les soumises au début. C’est d’ailleurs bien l’effet recherché. Quand tu es nue ton sexe s’expose indécemment. Mais c’est ce qu’aiment les hommes. Tu as eu des relations sexuelles depuis ton épilation ? Qu’en ont pensé tes partenaires ?

C : J’en ai eu une. J’étais super gênée de me dénuder devant lui. C’est comme si j’étais encore plus nue que nue.

MG : Il a aimé ?

C : Vu son érection quand il a découvert mon sexe imberbe, je pense que oui.

MG : Tu vois !

C : Je sais que c’est la mode et que beaucoup d’hommes fantasment là-dessus mais encore une fois, c’est moi avec moi-même.

MG : Tu t’habitueras. Comme pour tout le reste.  Tu as porté le soutif « seins nus » comme je t’avais demandé.

C : Je l’ai porté 2/3 fois la semaine dernière mais c’est super indécent. Je voulais vous en reparler. Je vous avais expliqué que j’ai des tétons plutôt saillants et ce genre de lingerie me mets dans une position très inconfortable.

MG : Très inconfortable ?

C : Disons que ça pointe énormément à travers mes vêtements. C’est limite indécent…

MG : Tu rigoles là ? Il y a 2 semaines je t’envoie un colis en te donnant une consigne précise et tu ne le fais pas parce que c’est « inconfortable ». Je n’avais pas été claire ? Plus de soutif du tout à part tes seins-nus.

C : Je sais… Je vous assure que j’ai essayé mais je voulais vous en reparler avant de continuer…

MG : Tu me déçois Céline. Jusqu’à présent tu avais dépassé tes limites pour des consignes bien plus difficiles et tu bloques sur une simple demande de changement de lingerie. Pourtant ça fait bien plusieurs mois que tu fais tes courses sans soutif ?

C : Oui mais c’est pas pareil. Là le seins-nus » redresse ma poitrine et tend le téton à travers les vêtements. On ne voit que ça. Le premier jour où je l’ai porté, je n’ai pas croisé un homme qui ne lorgne pas mes seins.

MG : Parce que tu crois que je te fais porter ce genre de vêtement pour quoi ? Une soumise exhibe ses charmes. C’est une très bonne nouvelle que tu ne laisses pas les hommes indifférents ! A partir de demain,  soit tu te plie à ma demande, soit ce contrat s’arrête là.

C : Bien Maîtresse. Je ferai ce que vous voudrez.

MG : La prochaine fois que tu me désobéis tu auras droit à une punition.

C : J’ai bien compris Maîtresse.

MG : Bon. Je t’avais demandé de te trouver 3/4 plans sexe dans le mois. Tu as réussi ?

C : J’en ai eu 3.

MG : Bon OK. Le premier ?

C : J’ai recontacté Eric et Tom. Tom, c’était l’un des 2 du mois dernier. Le bon coup. Son numéro était resté en mémoire dans l’historique de mon téléphone. Eric, j’avais couché avec lui suite à la soirée de réveillon. Un beau mec mais ne sachant pas faire l’amour à une femme.

MG : OK. Tu as respecté la règle : un bon coup pour un mauvais. Avec Tom ?

C : Super ! Comme le mois dernier. Nous avons fait l’amour trois fois dans la nuit. Il m’a fait jouir à chaque fois.

MG : Eric ?

C : La semaine suivante. Pas beaucoup d’évolution par rapport à la dernière fois. Je crois qu’il ne sait pas que nous les femmes on a un clito pour jouir. Il m’a ramonée assez fermement à chaque fois, se galvanisant de « Tu mouilles ! Tu aimes quand je te prends à fond ! ». Alors c’est sûr qu’après une semaine de caresses quotidiennes et d’abstinence, quand un homme bien membré me pénètre, je suis excitée mais ce n’est pas pour autant que je peux avoir un orgasme sans stimulation du clito.

MG : Il t’a laissé en plan ?

C : Oui. Il a fini par jouir et s’est affalé dans le lit.

MG : Frustrée ?

C : Et comment !

MG : Vous avez remis ça ?

C : Deux fois. Vous m’aviez imposé d’accepter autant de rapports que mon partenaire le voulait.

MG : En rade à chaque fois ?

C : Oui…

MG : Ah les hommes ! Donc tu as fini la nuit toute émoustillée par ce plaisir inaccessible ?

C : exactement.

MG : Parfait. Une soumise doit savoir oublier son plaisir personnel. C’est un bon exercice. Tu m’as parlé d’un troisième mec ?

C : Oui la semaine dernière. Je l’ai rencontré lors d’une soirée. Mais ça a tourné un peu court. Il avait des gouts un peu particuliers.

MG : C’est-à-dire ?

C : Dès le début des préliminaires, il a voulu que je suce son sexe.

MG : C’est vrai ! Tu m’avais dit que tu ne l’avais jamais fait parce que ça te dégoutait !

C : Oui.

MG : Donc tu as refusé ?

C : Evidemment.

MG : Bon et après ?

C : Il ne s’est pas formalisé. Nous avons continué jusqu’à la pénétration. La vue de mon sexe imberbe l’a drôlement excité. Je crois alors qu’il m’a prise pour une fille facile.

MG : Il t’a pénétrée ?

C : Oui. Il a tenu à me prendre en levrette. C’était plutôt agréable. J’étais très excitée et il me caressait en même temps le clito, un peu maladroitement mais c’était mieux qu’Eric.

MG : Donc plutôt pas mal…

C : Oui. J’ai même espéré atteindre l’orgasme. Sauf qu’à un moment, il s’est retiré. Il était derrière moi donc je ne voyais pas bien ce qu’il faisait. Puis j’ai senti son sexe se poser plus haut entre mes fesses. J’ai d’abord cru qu’il avait « mal visé ». J’ai donc voulu guider son membre vers mon vagin, mais il a arrêté mon geste en me disant « Laisse-toi faire. Je suis très doux. » et il a commencé à pousser sur mon anus. Du coup, aussitôt je me suis retirée en le traitant de « malade ». Il s’est énervé en me disant qu’il « fallait pas jouer la salope et aguicher les mecs pour faire la mijaurée après ». Nous en sommes restés là et chacun est rentré chez lui.

MG : Bon… Je ne vais pas t’en vouloir parce qu’on en était pas encore là dans ta soumission mais en effet il va falloir avancer maintenant sur les pratiques. Une soumise ne peut pas se contenter d’offrir seulement son vagin.

C : Que voulez-vous dire ?

MG : Ne fait pas l’innocente. Tu es une fille intelligente. Tu as bien compris.

C : Vous voulez que j’accepte de me faire sodomiser. C’est ça ?

MG : Pas si brutalement c’est sûr. On va préparer le terrain. J’avais justement prévu d’y venir aujourd’hui. Ca tombe très bien. Une soumise a 3 orifices et elle doit pouvoir offrir n’importe lequel à son partenaire. Tout d’abord, concernant la fellation, il va falloir t’y mettre. C’est une pratique très courante. Une soumise doit être experte dans ce domaine. Avec un préservatif, je ne vois pas trop ce que tu peux trouver de « dégoutant ». Donc à partir du mois prochain, tu devras en pratiquer au moins une par mois.

C : Je ne sais pas si j’y arriverai…

MG : Il le faudra bien. Tu n’as pas le choix. Concernant la sodomie maintenant, c’est pareil, il va falloir commencer à t’y préparer.

C : Je trouve ça dégradant. Et puis il parait que c’est très douloureux.

MG : Le côté dégradant c’est purement culturel. Chez nous, on considère ça comme une pratique déviante donc on en fait tout un monde. Dans d’autres sociétés, c’est la voie « officielle » car le vagin est réservé à la procréation. Tout est affaire de culture.

C : Mais je suis vierge de ce côté-là.

MG : Ca je te l’accorde. Si tu t’étais laissée faire l’autre soir, tu aurais en effet sacrément douillé car ton anus n’y est pas préparé. Il faut l’assouplir progressivement pour que les sodomies soient plus agréables.

C : Je n’ai jamais entendu dire qu’une sodomie puisse être agréable pour la femme !

MG : Pas tout à fait vrai. Certaines femmes disent ressentir un vrai plaisir à être sodomisée. Mais en effet ce n’est pas la généralité. C’est plus subtil que ça : on ne ressent pas du plaisir physique à la pénétration par contre on a le plaisir psychologique de se sentir prise au plus profond de soi.

C : Que dois-je faire pour avoir moins mal quand un homme me demandera une sodomie ?

MG : D’abord qu’on soit bien d’accord : pas de sodomie tant que je ne te l’ai pas demandé.

C : Pas de problème !

MG : Mais nous allons commencer à assouplir ton anus. Déjà tu vas aller t’acheter dès demain un bon tube de vaseline. Il sera très important au début de bien lubrifier, voir à l’excès. Ensuite, chaque soir, après ta masturbation, tu te mettras une noisette de vaseline sur le doigt et tu te masseras l’anus, sans le pénétrer. L’important est d’apprendre à te détendre. Tout le secret est là. Tu fais cela pendant les 15 jours à venir. La quinzaine suivante, tu fais la même chose et quand tu es bien détendue, tu fais glisser entre les plis de ton sphincter le dos d’un crayon style bic. Pas plus gros. Tu tiens l’exercice jusqu’à la fin du mois puis nous referons le point lors du chat. C’est bien compris ?

C : S’il le faut, je le ferai.

MG : Il le faut.

C : Bien Maîtresse.

MG : Bon. Tu as bien compris tes consignes pour la quinzaine à venir.

C : J’ai bien noté Maîtresse.

MG : Alors je te laisse et te dit à bientôt.

C : A bientôt Maîtresse.

 

Par Céline
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Mercredi 5 mars 3 05 /03 /Mars 01:42

Première quinzaine de février : consignes

-          Porter les boules 5 fois 2h par semaine dont 3 fois en dehors de chez moi

-          Se caresser 2 fois par jour sans orgasme

-          Un seul orgasme autorisé dans la quinzaine

-          Trouver un mec d’une nuit

 

Seconde quinzaine de février : consignes envoyées par Maîtresse :

-          Porter les boules 2h tous les jours

-          Pas d’orgasme hors relation sexuelle

 

MG : Bonjour soumise. Alors comment vas-tu ?

C : Bien merci.

MG : Cette quinzaine sans orgasme ?

C : très difficile ! Le rythme des 2 masturbations quotidiennes associé aux boules me met dans un état que je n’ai jamais connu auparavant !

MG : excitée ?

C : c’est le moins qu’on puisse dire ! Jamais je n’aurais cru pouvoir devenir dépendante à ce point du sexe.

MG : raconte-moi.

C : J’ai tout le temps envie de me caresser, j’ai des pensées érotiques à tout bout de champ, mes nuits n’en parlons pas.

MG : des « symptômes » physiques ?

C : Je mouille beaucoup plus qu’avant. J’ai toujours la sensation d’avoir l’entre-jambe humide.

MG : Tu ne ressens pas également une impression de vulve continuellement entrouverte ? Comme juste avant l’amour ?

C : Oui, c’est vrai !

MG : Tout ça est normal. Toutes ces stimulations sexuelles associées au manque d’orgasme te laissent dans l’état d’excitation dans lequel tu peux être juste avant une relation sexuelle. Petit à petit, nous induisons à ton corps le fait de rester continuellement en état d’attente sexuelle.

C : Mais je serai toujours comme ça ?

MG : Tant qu’on te laissera en état de frustration oui. Mais c’est très positif. Non seulement ton corps reste continuellement disponible à un éventuel rapport mais en plus, il produit des phéromones sexuelles qui te rendent attirante pour les hommes.

C : Mais cette frustration n’est pas facile à vivre…

MG : Bien sûr, mais c’est ton destin de soumise. Et encore pour l’instant tu gardes le droit d’avoir des orgasmes dans le cadre de relations sexuelles. Je n’exclus pas de t’en priver également à terme.

Les boules de Geishas ça donne quoi ?

C : J’ai appris à les porter. En effet elles ne glissent pas tant que ça et restent plutôt bien en place. Maintenant que j’arrive à me détendre, je sens bien la vibration lancinante des billes. Ca en rajoute à mon excitation. Quand je les porte je mouille beaucoup plus.

MG : Très bien. On va continuer dans ce sens alors. Parle-moi de tes aventures sexuelles.

C : J’ai rencontré 2 hommes.

MG : Un peu mieux que le mois dernier…

C : Le premier m’a dragué dans le bus. C’était pas un canon mais j’avais besoin de sexe et de toute façon vous m’aviez demandé de trouver un homme durant la première quinzaine. Il m’a invité à prendre un café…

MG : Passe-moi l’étape de prise de contact et viens-en directement à votre partie de jambe en l’air.

C : Nous nous sommes retrouvés chez lui un soir. Préliminaires très agréables. Puis il m’a pénétrée. Que c’était bon de sentir ce membre viril en moi ! J’avais très envie de jouir. Il a pensé de lui-même à me caresser le clito en même temps qu’il me pénétrait. J’ai eu un orgasme fulgurant. Nous avons remis ça deux fois dans la nuit.

MG : Tu as eu plusieurs orgasmes alors ?

C : Oui 3.

MG : Tu t’es bien défoulée je vois. Et lui ? Il a pris son pied ?

C : Oui. Il voulait qu’on se revoie mais j’ai coupé court à tout projet.

MG : Très bien. La seconde aventure ?

C : C’était le week-end dernier. Pas top cette fois. Peu voire pas de préliminaire. Clairement un mec qui était là pour se soulager plus que pour me donner du plaisir. Même cas que l’autre fois : il m’a pénétrée mais ne s’est jamais occupé de mon clito. Il a déchargé en 5mn me laissant en plan.

MG : Vous avez remis ça ?

C : non. Je n’ai pas insisté. La dernière fois m’a servi d’expérience.

MG : Et lui ? Il n’avait pas envie de remettre ça ?

C : Si clairement. Mais je ne lui en ai pas laissé la possibilité.

MG : OK. Alors on va ajouter une nouvelle petite contrainte : dorénavant, quand tu choisis de coucher avec un mec, tu auras obligation de le satisfaire autant de fois qu’il le voudra durant la nuit. Tu ne pourras plus lui refuser de remettre ça, même si toi tu n’en as plus envie.

C : Même s’il est juste là pour décharger sans se préoccuper de moi ?

MG : Oui.

C : C’est dur !

MG : Oui mais une soumise pense d’abord à l’homme avant de penser à elle-même. Son plaisir doit être entièrement orienté sur son partenaire. Cependant, pour l’instant tu gardes la possibilité de choisir tes partenaires. Encore une fois choisis bien !

C : Mais en rencontrant un homme c’est impossible de savoir à l’avance l’amant qu’il sera.

MG : Avec l’expérience on apprend ! A toi de t’ouvrir suffisamment d’opportunités. J’aimerais d’ailleurs que tu arrives rapidement à une moyenne de 3 voire 4 aventures minimum par mois.

C : 4 par mois ! Ca fait un homme à trouver par semaine. C’est presque impossible pour moi. Je n’ai pas eu beaucoup d’expériences de drague avant de me soumettre. Le fossé est énorme !

MG : Bon je te l’accorde. Je te propose quelque chose : je t’autorise à recontacter de temps en temps tes anciennes aventures mais tu ne dois pas les voir plus d’une fois par mois chacun. Si tu sens qu’ils s’attachent, ou toi, et que des prémices de sentiments s’installent, tu arrêtes tout. C’est bien compris ?

C : Oui. Merci Maîtresse.

MG : Cependant, il y a une contrepartie : pour chaque « bon coup » recontacté, tu dois recontacter également un « mauvais coup » et lui fixer un rendez-vous dans le mois.

C : Dur ça !

MG : Bien sûr quand je dis rendez-vous, je ne dis pas juste un resto ou un ciné. Je parle bien d’un plan baise.

C : J’avais bien compris.

MG : Donc partant de là, j’attends de toi que tu tiennes maintenant cette moyenne de 3 voire 4 minimums.

C : je vais faire mon possible.

MG : Dernière chose pour ce mois-ci : tu vas prendre rendez-vous chez l’esthéticienne. Nous aimerions fixer un rendez-vous prochainement pour te voir en chair et en os. Pierre ne supportera pas que tu ne sois pas intégralement épilée. Il est donc temps que tu fasses disparaitre les derniers poils que nous t’avions autorisée à garder jusqu’à présent.

C : Vous voulez dire le maillot ?

MG : Bien sûr. Maillot, jambes, aisselles… Tu devras dorénavant rester continuellement bien lisse.

C : Bon. Je vais m’en occuper.

MG : Voilà. C’est tout pour cette fois. Je t’envoie un mail mi-mars avec mes consignes pour la fin du mois.

C : A bientôt Maîtresse.

Par Céline
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Dimanche 2 février 7 02 /02 /Fév 17:07

Pour des raisons diverses, notamment de temps disponible, en accord avec Géraldine et Pierre, nous allons revoir les modalités pratiques de suivi de ma soumission : Maîtresse m’enverra dorénavant ses consignes par mail en début de chaque quinzaine. Je devrai suivre ses consignes au plus près. Puis nous nous retrouverons sur chat à la fin du mois pour que je lui fasse un compte-rendu du mois passé.

 

Première quinzaine de janvier : consignes de Maîtresse

-          Avec Pierre, nous t’avons envoyé un petit colis : il contient entre autre une petite robe que tu porteras lors de ta soirée de réveillon. Dessous, tu ne porteras aucun sous-vêtement. Tu mettras des bas et une paire de chaussures à talon que tu choisiras librement. Maquillage et coiffure adaptés. Demande conseil à ta copine.

-          Dans le colis, tu trouveras également des boules de geishas, petit accessoire nouveau qui fera bientôt partie de ton quotidien de soumise. Elles s’insèrent dans le fond du vagin et ont deux fonctions principales : d’une part elles vont muscler ton périnée en douceur. Une soumise doit garder un vagin souple et ferme. L’autre fonction, tu la découvriras par toi-même. Dans un premier temps, tu les porteras 3 fois une heure par semaine, chez toi, au boulot, en soirée, c’est toi qui vois pour l’instant. Tu les mets à des moments où tu es active. Si tu es statique (à l’ordi, devant la télé, etc…) elles ne présentent plus aucun intérêt. Dans un premier temps, je te conseille de choisir les jours où tu portes un string. Plus tard, quand ton périnée sera plus musclé, on verra. Pour les mettre en place, installe-toi confortablement sur ton lit et détend-toi. Il ne faut surtout pas les lubrifier car sinon, elles vont glisser après. Ecarte bien tes lèvres et glisse-y la première boule. Avec un doigt, pousse-là lentement vers le fond de ton vagin. La seconde va être entraînée. Quand elle arrive à l’entrée de ton vagin, pousse celle-ci qui va repousser la première bien au fond. Pour qu’elles restent bien en place, il faut absolument que la première soit bien blottie au creux du cul de sac vaginal. Au début la seconde va bouger un peu sur l’avant de ton vagin mais si la première est bien calée, elles ne sortiront pas de ton sexe.

-          Masturbation quotidienne obligatoire mais orgasme interdit jusqu’au prochain mail

-          Bien sûr, si tu fais une rencontre, tu as le droit de coucher avec lui, à condition évidemment que ce soit juste pour la nuit. Comme l’autre fois, interdiction de te caresser pendant le rapport. Seul lui peut le faire. Préservatif obligatoire.

 

Seconde quinzaine de janvier : consignes de Maîtresse

Je pense que tu as du expérimenter les boules de geisha. Nous allons augmenter un peu cette quinzaine : 4 fois 2h par semaine.

Masturbation quotidienne obligatoire mais un seul orgasme autorisé d’ici à la fin du mois. Choisis bien !

Tu as toujours le droit de coucher avec tous les hommes que tu veux du moment que ça reste un plan sexe.

 

MG : Bonjour soumise. Comment vas-tu ?

C : Très bien. Merci maîtresse. Un peu excitée par l’attente de ce chat avec vous.

MG : C’est ce qu’il faut. Depuis combien de temps es-tu abstinente ?

C : Depuis 10 jours.

MG : Eh bien ! Tu as utilisé ton droit à l’orgasme dès réception de mon mail ?

C : En fait j’étais déjà abstinente depuis 2 semaines et demi car début janvier vous m’avez interdit tout orgasme.

MG : Et tu n’as pas essayé de te trouver un amant d’une nuit ?

C : Là durant la quinzaine passée, je n’ai pas eu le temps de sortir beaucoup. Lors de la soirée de Nouvel An j’ai rencontré un homme mais la nuit n’a pas été très concluante…

MG : Ah ! Raconte !

C : Au début super. Bel homme, charmant, gentil… Le genre d’homme que je n’aurais jamais décroché auparavant. Bon la tenue un peu sexy n’y était sans doute pas pour rien. Nous nous sommes retrouvés chez lui. Préliminaires supers ! En plus comme j’étais abstinente depuis déjà plusieurs jours, j’étais très excitée. Mais dès qu’il a commencé à me pénétrer, il a complètement oublié que j’avais un clito.

MG : Donc tu n’as pas eu de plaisir ?

C : Si bien sûr. J’ai ressenti énormément de plaisir vaginal. Mais moi je suis très clitoridienne. Sans stimulation directe du clito, impossible de déclencher l’orgasme. Plus il me ramonait, plus l’excitation montait mais comme il ne lui est pas venu à l’idée de stimuler mon clito, impossible de jouir.

MG : Tu n’as pas essayé de le guider ? De lui dire ?

C : J’ai essayé de guider sa main vers mon clito. Il m’a caressé quelques secondes puis s’est reconcentré sur les va-et-vient. Pas suffisamment pour déclencher l’orgasme.

MG : Donc il a joui et toi tu es restée en plan ?

C : Et bien oui…

MG : Je vois que tu découvres la réalité masculine. Bien peu d’hommes comprennent le fonctionnement féminin. Vous n’avez pas refait l’amour ?

C : Si mais à chaque fois, ça s’est passé pareil.

MG : Donc tu as fini la nuit 2 fois plus excitée et sans avoir pu te soulager ?

C : Exactement…

MG : Ma pauvre Céline ! Mais je ne te plains pas trop. Tu découvres seulement la réalité d’une soumise. Une vraie soumise doit être toujours offerte, excitée, accueillante tout en acceptant de renoncer à son plaisir propre. Il y aura bien d’autres fois où je te demanderai de coucher avec des hommes sans en retirer de plaisir personnel. C’est une expérience intéressante.

C : C’est dur !

MG : Oui mais c’est le chemin que tu as choisi. Tu devras t’y faire. Parle-moi maintenant des boules de geisha.

C : Très particulier au début de sentir ça au fond de son ventre. Pas très habituel comme sensation.

MG : Les premiers jours ?

C : Pas facile. J’étais très crispée. En fait j’avais peur de les perdre. Donc je gardais le périnée très contracté.

MG : Tu les as portée en dehors de chez toi ?

C : Non. Pour l’instant uniquement à la maison quand je fais du ménage par exemple.

MG : Donc au début plutôt une gêne ?

C : Oui c’est ça. Je finissais toute courbatue du bas-ventre. Comme si j’avais fait une heure d’abdos.

MG : Et maintenant ?

C : Depuis une semaine, j’essaye de moins me crisper sur les boules. Je m’aperçois qu’elles ne glissent pas vraiment en fait. Et puis comme j’ai un string, de toute façon, je me dis qu’il les recueillera au besoin. Donc mon objectif depuis lundi c’est de les laisser prendre leur place naturellement.

MG : C’est bien. Tu as compris par toi-même. En effet les porter ne doit pas te demander d’effort. C’est plutôt un travail musculaire sur le long terme. Tes muscles vaginaux vont se raffermir d’eux même. Tu dois les laisser bouger en toi. Si la boule extérieure descend un peu trop, une légère contraction doit suffire pour la remettre en place. Pas plus. Et maintenant que tu es moins crispée, as-tu des sensations nouvelles ?

C : En fait, quand je m’active un peu, ça fait comme une légère vibration à l’intérieur de moi.

MG : Voilà ! Normal et voulu : les billes sont en métal et lorsqu’elles se touchent, elles diffusent cette sensation.

C : C’est très bizarre car c’est une sensation très subtile. Cette vibration légère se diffuse dans tout mon bas-ventre. Ca fait comme des chatouillis intérieurs.

MG : Ca t’excite ?

C : Encore une fois c’est très subtil. Ca n’a rien à voir avec les sensations d’une pénétration mais j’ai remarqué en effet depuis quelques jours que j’avais tendance à souiller beaucoup plus mes strings quand je porte les boules.

MG : C’est parfait. C’est le but recherché. Je vais donc te demander à présent de les porter 5 fois 2h par semaine. Tu devras les mettre au moins 3 fois en dehors de chez toi. Quand tu les as, tu as le droit de porter un string que tu retires après si jamais tu es sur une journée sans string.

C : En dehors de chez moi… Vous voulez dire ?

MG : au boulot, en faisant tes courses, etc… Au maximum quand tu es active ou alors en voiture.

C : Ca va faire bizarre de porter ça au boulot…

MG : Oui sans doute. Mais encore une fois autant t’habituer. Le sexe reste au cœur de la vie d’une soumise. Même quand elle est au boulot.

C : Bon. Je me plierai à vos désirs. Mais comment je fais quand j’ai mes règles ?

MG : Là, tu es exempté. Mais dès la fin de tes règles, tu reprends.

Autre petite consigne également : dorénavant tu te caresseras non plus une mais deux fois par jour, toujours sans orgasme bien sûr.

C : Je vais être constamment excité !

MG : Je te l’ai déjà dit : une soumise doit être disponible 24h sur 24. Pour la quinzaine à venir, tu as droit à un seul orgasme hors relation sexuelle masculine. D’ailleurs j’aimerais bien que tu te trouves un mec d’une nuit dans la quinzaine. Ce n’est pas imaginable que le sexe d’une soumise soit si peu utilisé. Donne-t-en les moyens.

C : Je vais essayer…

MG : allez, bon courage pour les semaines à venir. Je t’envoie un mail mi février.

C : à bientôt maîtresse.

Par Céline
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  • : Le journal très intime de soumise Céline
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  • : Je m’appelle Céline. J’ai 21 ans. Il y a quelques mois, j'étais encore une jeune femme sage à la vie sans histoire. Ce blog est le journal intime de mon cheminement vers la soumission.
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